Sommet Arabe : Les prémices d'un fiasco diplomatique algérien


Alors que le Sommet de la Ligue arabe, prévu les 1er et 2 novembre 2022 à Alger, approche, plusieurs chefs d'État arabes se désistent l’un après l’autre. Après le Roi Hamed Ben Issa Al Khalifa, du Bahreïn, Haïtham ben Tariq, le Sultan d'Oman, et Michel Aoun, le président du Liban, c’est le prince héritier saoudien, Mohammed Ben Salmane, qui a annoncé également son retrait, le samedi 22 octobre.

Ainsi, tous les enjeux de ce sommet qui aura lieu en Algérie, pays qui selon les mots de son président, Abdelmadjid Tebboune, se dit “le mieux placé pour unifier les rangs arabes” (déclaration faite le 30 juillet 2022 aux médias publics de radiotélévision algériens), seront loin d’être réalisés.

D’ailleurs, certaines sources font savoir que les Émirats Arabes Unis et le Kuwait pourront également être absents. Un échec annoncé de la diplomatie algérienne?

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