UN LOBBY SCIENTIFIQUE MONDIALEMENT DÉCRIÉ

FEU DE CRITIQUES SUR L’OMS

Le ministre de la santé italienne a lancé un gros pavé dans la mare. Le Covid-19 ne serait pas un virus mais une bactérie virulente qui attaque les vaisseaux sanguins.

Après avoir longtemps incarné l’autorité morale et scientifique sur la santé dans le monde, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se retrouve actuellement au coeur d’une énorme polémique provoquée par sa très mauvaise gestion de la crise du Coronavirus. Le président américain, Donald Trump, a été, en réalité, le premier chef d’Etat à lancer ses attaques en règle contre cette organisation, l’accusant d’être trop proche de la Chine.

Autres reproches de l’administration américaine: leur mauvaise gestion de l’épidémie, la dissimulation de la propagation du virus et le fait que l’OMS n’aurait pas envoyé d’experts médicaux dans les pays sévèrement touchés par la pandémie.

Des reproches qui semblent parfaitement légitimes aux yeux d’autres dirigeants, dont le vice-Premier ministre japonais Taro Aso, qui estime que l’OMS reprend la propagande de Pékin «comme un perroquet». Jamais l’OMS n’a été aussi critiquée et vilipendée au point que son autorité scientifique est devenue lettre morte pour beaucoup de pays. Le locataire de la Maison blanche a même suspendu les subventions américaines dont bénéficiait l’organisation.

Un autre scandale touchant l’OMS vient d’être révélé au grand jour par le ministre de la santé italienne, Roberto Speranza, qui a lancé un gros pavé dans la mare. Il vient, en effet, de déclarer officiellement avoir réalisé des autopsies sur les corps de malades décédés du Covid-19. Lesquelles autopsies ont révélé que le Covid-19 n’est pas un virus mais une bactérie virulente qui attaque les vaisseaux sanguins, ce qui provoque des troubles respiratoires chez certains patients à faible immunité.

La découverte des médecins italiens précise que la bactérie en question empêche le sang d’irriguer les poumons de certains patients, d’où la gêne respiratoire qui en résulte. Pour lutter contre cette bactérie, il suffit de prendre de l’aspirine et certains antibiotiques pour débloquer les vaisseaux sanguins et permettre ainsi au sang de circuler normalement dans le corps.

De telles découvertes, pour le moins incroyables, risquent de décrédibiliser sérieusement les thèses scientifiques avancées par les experts de l’OMS qui avaient appelé à ne pas réaliser d’autopsies médicales sur les cadavres des malades atteints du Covid-19, arguant du fait que le cadavre transmet rapidement le virus. De nombreux scientifiques de par le monde s’en sont abstenus jusqu’à ce que les médecins italiens aient décidé de briser ce tabou.

Après toutes ces révélations fracassantes, l’OMS est clouée au pilori, et son système de conduite et de gestion des épidémies totalement remis en doute. Désormais, au même titre que les laboratoires pharmaceutiques, l’OMS est assimilée à un lobby scientifique au service de certains pays au détriment d’autres. Et ce alors qu’elle devait être une institution indépendante sur le plan médical et scientifique pour servir la communauté scientifique mondiale.

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